Gods of Egypt (2016)
Le pire trait du dernier Alex Proyas, c'est sans doute son montage empressé et idiot. Je dirais pas débilitant, parce que mon attention ne s'abaisse pas à être concernée par de telles putasseries cinématographiques, mais on est pas loin. Qu'il s'agisse des dialogues ou des combats, tout est passé au hachoir, tout se précipite, mais pour strictement rien bien sûr. Les textes sont nuls, forcés, plein d'exposition inut…