Le film, au moins autant que le concert, figure tranquillement parmi les plus folles extravagances psyché-rock des années 70. L'enregistrement et le mixage sont au poil, balancé à fond sur des enceintes le son est équilibré comme il faut, et les solos interminables à moitié improvisés de Jimmy Page, c'est quand même un truc à vivre au moins une fois (même le passage où il attaque sa guitare avec un archet a ses qualités xD). Au-delà de l'aspect méthodique de l'étirement de tous les morceaux par rapport à leur version studio, Led Zeppelin en live, ça vaut vraiment le détour. Les mots ne peuvent pas rendre justice à l'énergie que ces quatre-là parviennent à déployer sur scène (enfin, peut-être pas John Paul Jones, caché derrière sa moumoute tombante, mais je l'aime bien quand même).
Le montage est entrecoupé de portraits fantaisistes des membres, on y voit Robert Plant qui se la joue heroic-medieval, JPJ en espèce de vampire victorien sur un orgue monumental, John Bonham qui conduit un tracteur, bref c'est kitsch et vaguement mégalo, mais toujours bon enfant et parfaitement dans les tons du groupe, on rigole bien, et surtout on en prend plein les oreilles.
Le film, au moins autant que le concert, figure tranquillement parmi les plus folles extravagances psyché-rock des années 70. L'enregistrement et le mixage sont au poil, balancé à fond sur des enceintes le son est équilibré comme il faut, et les solos interminables à moitié improvisés de Jimmy Page, c'est quand même un truc à vivre au moins une fois (même le passage où il attaque sa guitare avec un archet a ses qualités xD). Au-delà de l'aspect méthodique de l'étirement de tous les morceaux par rapport à leur version studio, Led Zeppelin en live, ça vaut vraiment le détour. Les mots ne peuvent pas rendre justice à l'énergie que ces quatre-là parviennent à déployer sur scène (enfin, peut-être pas John Paul Jones, caché derrière sa moumoute tombante, mais je l'aime bien quand même).
Le montage est entrecoupé de portraits fantaisistes des membres, on y voit Robert Plant qui se la joue heroic-medieval, JPJ en espèce de vampire victorien sur un orgue monumental, John Bonham qui conduit un tracteur, bref c'est kitsch et vaguement mégalo, mais toujours bon enfant et parfaitement dans les tons du groupe, on rigole bien, et surtout on en prend plein les oreilles.