Les fraises sauvages (1957)
J'appréhendais mon premier Bergman depuis Le Septième Sceau il y a bien une dizaine d'années, d'autant plus que j'ai eu le temps de développer une aversion raisonnée pour les films qui se prenaient excessivement au sérieux et versaient dans un symbolisme surchargé (c'est ainsi qu'a mûri mon souvenir du match Max von Sydow vs. Death). Les deux films ayant été tournés à quelques mois d'écart, mes craintes n'étaient pa…