J'ai beau lire quelques avis, je ne comprends rien de ce que Greenaway a cherché à accomplir ici. Le mieux que j'aie à dire, c'est qu'il filme l'architecture avec un appétit obscène comparable à la goinfrerie baroque de The Cook, the Thief, his Wife and her Lover. Quant à affirmer qu'il se cache des choses plus profondes derrière la déchéance de ce directeur d'exposition angoissé, j'attends qu'on m'en convainque. L'association nourriture/sexe me parlait spontanément, celle corps/architecture beaucoup moins. Question d'identité, ou peut-être d'état d'esprit, difficile à savoir.
J'ai beau lire quelques avis, je ne comprends rien de ce que Greenaway a cherché à accomplir ici. Le mieux que j'aie à dire, c'est qu'il filme l'architecture avec un appétit obscène comparable à la goinfrerie baroque de The Cook, the Thief, his Wife and her Lover. Quant à affirmer qu'il se cache des choses plus profondes derrière la déchéance de ce directeur d'exposition angoissé, j'attends qu'on m'en convainque. L'association nourriture/sexe me parlait spontanément, celle corps/architecture beaucoup moins. Question d'identité, ou peut-être d'état d'esprit, difficile à savoir.