Où l'on comprend que l'humour de Tim Burton, au milieu de ses accès de stop-motion gothique et macabre, le sauve en fait de la naïveté. La jeune réalisatrice de ce court-métrage plonge dans le glauque jusqu'à la caricature, au point que son scénario aligne les platitudes "je tue par amour, je meurs par amour, mon cœur est glacé et je souffre éternellement pour des siècles et des siècles". Dommage pour la construction minutieuse des décors...
Où l'on comprend que l'humour de Tim Burton, au milieu de ses accès de stop-motion gothique et macabre, le sauve en fait de la naïveté. La jeune réalisatrice de ce court-métrage plonge dans le glauque jusqu'à la caricature, au point que son scénario aligne les platitudes "je tue par amour, je meurs par amour, mon cœur est glacé et je souffre éternellement pour des siècles et des siècles". Dommage pour la construction minutieuse des décors...