A l'image de son héros, la sobriété apparente de Coppola n'est qu'une façade pour une créativité et des tensions de mise en scène inspirées, à la fois sur l'image et sur le son. C'est toujours un plaisir, en tant que spectateur, d'être entre ses mains.
Sur l'étude paranoïaque et l'approche anti-romanesque, suffisamment d'encre a déjà coulé pour que je n'aie pas à m'épancher à mon tour. Je me contenterai de dire qu'il est facile de projeter les préoccupations de The Conversation aux enjeux contemporains de la vie privée face aux systèmes étatiques de surveillance globale. Et qu'il est difficile de prendre cette défense à coeur jusqu'au bout, sans sacrifier en chemin ses valeurs, voire son équilibre mental ; il faut opter entre la désensibilisation ou la panique. (Ou bien m'enfuir complètement du secteur de la sécurité informatique.)
A l'image de son héros, la sobriété apparente de Coppola n'est qu'une façade pour une créativité et des tensions de mise en scène inspirées, à la fois sur l'image et sur le son. C'est toujours un plaisir, en tant que spectateur, d'être entre ses mains.
Sur l'étude paranoïaque et l'approche anti-romanesque, suffisamment d'encre a déjà coulé pour que je n'aie pas à m'épancher à mon tour. Je me contenterai de dire qu'il est facile de projeter les préoccupations de The Conversation aux enjeux contemporains de la vie privée face aux systèmes étatiques de surveillance globale. Et qu'il est difficile de prendre cette défense à coeur jusqu'au bout, sans sacrifier en chemin ses valeurs, voire son équilibre mental ; il faut opter entre la désensibilisation ou la panique. (Ou bien m'enfuir complètement du secteur de la sécurité informatique.)