Corrypt (2012)
Corrypt démarre comme un Sokoban classique, mais son intérêt réel se révèle après la résolution d'une poignée de puzzles. L'expérience est courte mais substantielle du fait d'altérations de design profondes, en particulier la présence de puzzles dynamiques non procéduraux (c'est la personne qui joue qui provoque leur création), qui va de pair avec une tolérance quant à la mise en danger du jeu lui-même (le softlock …