En dépit d'une mise en scène élégante, les contrôles flous (sous l'excuse d'être secondaires) et la narration vaporeuse (sous l'excuse de la pOéSiE) me ramènent à ces mots de droqen :
I want to make a game where the characters travel well-worn paths that you see plainly laid out ahead of you; where your actions have personal consequences not buried in the sand of abstract systems or dispensed as a breathable aerosol for you to waft into your nostrils and merely catch the scent of or divided into twenty recordings spread across the land for you to discover and listen to at your leisure or possibly not discover at all [...]
Débarrassée de cette hybridation faussement progressiste entre jeu et film, l'abstraction de Flower était en fait à la fois plus radicale et plus émouvante.
En dépit d'une mise en scène élégante, les contrôles flous (sous l'excuse d'être secondaires) et la narration vaporeuse (sous l'excuse de la pOéSiE) me ramènent à ces mots de droqen :
Débarrassée de cette hybridation faussement progressiste entre jeu et film, l'abstraction de Flower était en fait à la fois plus radicale et plus émouvante.