Dans la mesure où Divide by Sheep et ses opérations mathématiques m'ennuient, je ne peux m'empêcher de voir et de mépriser les décisions de design qui visent à capturer l'attention : des nouvelles mécaniques introduites fréquemment, pas toujours cohérentes, combinées en mode salade-de-fruits plutôt que menées une à une à leurs extrémités respectives, et puis des tableaux et des zones débloquées au compte-gouttes, accessibles par tâtonnement aléatoire plutôt que par réflexion ordonnée, dont l'enchaînement apathique prévaut sur un quelconque apprentissage. Il ne s'agit pas tant d'un jeu que d'un dispensateur de contenu, symptomatique des plateformes mobiles, qui appâte par son accessibilité pour déployer l'illusion chronophage et mortifère de sa pertinence.
Dans la mesure où Divide by Sheep et ses opérations mathématiques m'ennuient, je ne peux m'empêcher de voir et de mépriser les décisions de design qui visent à capturer l'attention : des nouvelles mécaniques introduites fréquemment, pas toujours cohérentes, combinées en mode salade-de-fruits plutôt que menées une à une à leurs extrémités respectives, et puis des tableaux et des zones débloquées au compte-gouttes, accessibles par tâtonnement aléatoire plutôt que par réflexion ordonnée, dont l'enchaînement apathique prévaut sur un quelconque apprentissage. Il ne s'agit pas tant d'un jeu que d'un dispensateur de contenu, symptomatique des plateformes mobiles, qui appâte par son accessibilité pour déployer l'illusion chronophage et mortifère de sa pertinence.