Quand tout le monde dort (2018)
Jérôme Clément-Wilz cède à l'urgence de témoigner sur les collectifs à l'origine des free parties parisiennes. Séduit par la liberté qu'ils poursuivent, une liberté qui brille et brûle à travers les grillages et les autorisations préfectorales, il se fond dans l'action et fait de la caméra une extension de son corps.
La joie naît bien sûr de l'euphorie partagée de la fête, mais aussi de la transgression permanent…