La formule de Cosmo D commence à donner de gros signes de faiblesse. Par rapport aux précédents Off-Peak et The Norwood Suite, l'ambiance n'est plus surréaliste mais simplement décalée. Et sans l'effet de surprise, cette excentricité tombe à plat. Même les personnages n'ont plus leur saveur mystérieuse. En fait, Tales From Off-Peak City Vol. 1 a subi une cure de rationalisation qui le rapproche des point-and-click traditionnels : tous les lieux accessibles sont traversés au cours de l'histoire, tous les NPCs servent à faire avancer notre compréhension de l'intrigue, les objets doivent être ramassés mécaniquement pour faire avancer le jeu comme sur un rail... Quand tout est au service de la personne qui joue, le monde peine à respirer. Il n'y a plus d'exploration, plus de secret, et je suis déçue.
La formule de Cosmo D commence à donner de gros signes de faiblesse. Par rapport aux précédents Off-Peak et The Norwood Suite, l'ambiance n'est plus surréaliste mais simplement décalée. Et sans l'effet de surprise, cette excentricité tombe à plat. Même les personnages n'ont plus leur saveur mystérieuse. En fait, Tales From Off-Peak City Vol. 1 a subi une cure de rationalisation qui le rapproche des point-and-click traditionnels : tous les lieux accessibles sont traversés au cours de l'histoire, tous les NPCs servent à faire avancer notre compréhension de l'intrigue, les objets doivent être ramassés mécaniquement pour faire avancer le jeu comme sur un rail... Quand tout est au service de la personne qui joue, le monde peine à respirer. Il n'y a plus d'exploration, plus de secret, et je suis déçue.