Dans The Norwood Suite, Cosmo D parvient à aiguiller ses idées surréalistes et foisonnantes afin qu'elles composent, non seulement un univers décalé et cohérent, mais aussi une intrigue à tiroirs assez complexe. Les conversations espionnées ou recueillies auprès des occupant·e·s du Norwood Hotel retracent en mosaïque le portrait d'un musicien excentrique ; ses compositions d'avant-garde aux pouvoirs ésotériques imprègnent encore les lieux de façon enivrante.
Si labyrinthique soit-elle, cette narration solide fournit au jeu un sens de progression qui manquait plutôt au précédent Off-Peak, tout en intensifiant l'esthétique éclectique de son créateur. D'ailleurs, les morceaux écrits pour le jeu, bien que développés sans le reste du groupe Archie Pelago, retiennent la même saveur entraînante d'un brassage de genres insatiable.
Dans The Norwood Suite, Cosmo D parvient à aiguiller ses idées surréalistes et foisonnantes afin qu'elles composent, non seulement un univers décalé et cohérent, mais aussi une intrigue à tiroirs assez complexe. Les conversations espionnées ou recueillies auprès des occupant·e·s du Norwood Hotel retracent en mosaïque le portrait d'un musicien excentrique ; ses compositions d'avant-garde aux pouvoirs ésotériques imprègnent encore les lieux de façon enivrante.
Si labyrinthique soit-elle, cette narration solide fournit au jeu un sens de progression qui manquait plutôt au précédent Off-Peak, tout en intensifiant l'esthétique éclectique de son créateur. D'ailleurs, les morceaux écrits pour le jeu, bien que développés sans le reste du groupe Archie Pelago, retiennent la même saveur entraînante d'un brassage de genres insatiable.