Je m'attendais à voir Imamura virer vers la chronique criminelle, mais que nenni : c'est toujours le scénariste et metteur en scène de La femme insecte qui est aux commandes. Et c'est ici la cavale d'un meurtrier qui lui permet de parler des passions contradictoires, pudiques mais démentes, que les conventions sociales nous invitent à nier.
Je m'attendais à voir Imamura virer vers la chronique criminelle, mais que nenni : c'est toujours le scénariste et metteur en scène de La femme insecte qui est aux commandes. Et c'est ici la cavale d'un meurtrier qui lui permet de parler des passions contradictoires, pudiques mais démentes, que les conventions sociales nous invitent à nier.