Ce court métrage, point d'origine du jeu NaissanceE, et lui-même inspiré par le concerthall de Bruges, encapsule le décalage entre le brutalisme concret et le brutalisme médiatique ; entre l'humanisme maladroit des architectes des années 50 à 70, et le romantisme d'aliénation développé ultérieurement par d'autres artistes.
Les espaces angulaires sont consommés et alimentés, non par les besoins des personnes, mais par une lumière glacée et mécanique, doublée de sons synthétiques et répétitifs, évoquant la vie automatisée dont les lieux se sont faits la prison.
Ce court métrage, point d'origine du jeu NaissanceE, et lui-même inspiré par le concerthall de Bruges, encapsule le décalage entre le brutalisme concret et le brutalisme médiatique ; entre l'humanisme maladroit des architectes des années 50 à 70, et le romantisme d'aliénation développé ultérieurement par d'autres artistes.
Les espaces angulaires sont consommés et alimentés, non par les besoins des personnes, mais par une lumière glacée et mécanique, doublée de sons synthétiques et répétitifs, évoquant la vie automatisée dont les lieux se sont faits la prison.