D'un côté je pourrais parler du scepticisme et de la méfiance sociale de Woyzeck, qui le poussent à lire des signes n'importe où autour de lui, et puis Kinski est au bout du rouleau et son jeu est impressionnant. De l'autre, ce serait de la mauvaise foi d'ignorer les grandes lignes : un passif qui psychote et s'énerve contre une femme qui ne l'aime pas, jusqu'à la charcuter. Adaptation théâtrale ou non, j'ai bien du mal à excuser Herzog, et pour son choix de sujet, et pour l'absence de jugement (la désensibilisation ?) face à un féminicide.
D'un côté je pourrais parler du scepticisme et de la méfiance sociale de Woyzeck, qui le poussent à lire des signes n'importe où autour de lui, et puis Kinski est au bout du rouleau et son jeu est impressionnant. De l'autre, ce serait de la mauvaise foi d'ignorer les grandes lignes : un passif qui psychote et s'énerve contre une femme qui ne l'aime pas, jusqu'à la charcuter. Adaptation théâtrale ou non, j'ai bien du mal à excuser Herzog, et pour son choix de sujet, et pour l'absence de jugement (la désensibilisation ?) face à un féminicide.