Sorti en 1970, premier film de Roy Andersson qui était réapparu cette année avec "Un pigeon perché sur une branche philosophait sur l'existence". En gros l'accent est mis sur l'insouciance et les secondes chances dont bénéficient presque miraculeusement la jeunesse par rapport à leurs familles.
Le couple d'ados et leur histoire naissante est mis en scène avec une douceur et une émotion qui m'ont rappelé les meilleurs aspects du plus gros segment des Trois souvenirs de la jeunesse de Desplechin. Mais en face, le monde adulte est peint de façon excessivement grossière et, sans qu'on comprenne bien pourquoi, occupe de plus en plus l'écran tout en virant à la farce absurde. Du gâchis. Vu que le Pigeon a l'air bien plus proche du deuxième traitement que du premier, je regrette pas d'avoir passé mon tour.
Sorti en 1970, premier film de Roy Andersson qui était réapparu cette année avec "Un pigeon perché sur une branche philosophait sur l'existence". En gros l'accent est mis sur l'insouciance et les secondes chances dont bénéficient presque miraculeusement la jeunesse par rapport à leurs familles.
Le couple d'ados et leur histoire naissante est mis en scène avec une douceur et une émotion qui m'ont rappelé les meilleurs aspects du plus gros segment des Trois souvenirs de la jeunesse de Desplechin. Mais en face, le monde adulte est peint de façon excessivement grossière et, sans qu'on comprenne bien pourquoi, occupe de plus en plus l'écran tout en virant à la farce absurde. Du gâchis. Vu que le Pigeon a l'air bien plus proche du deuxième traitement que du premier, je regrette pas d'avoir passé mon tour.