Le film me fait sentir trop jeune, ou peut-être trop vieux. Jeune parce que je ne suis pas sensible à ce duel monumental Gabin-Belmondo, et que la valse ciselée des dialogues d'Audiard ne m'émeut pas plus. Vieux parce que le thème de l'alcoolisme n'a sans doute plus beaucoup à me révéler, la mécanique de l'addiction, l'engourdissement comme échappatoire aux angoisses ou à la routine, etc. J'en suis pas encore à prôner l'abstinence, ni même penser que plus aucune aventure éthylique ne m'attend, grotesque et peu glorieuse, mais enfin l'essentiel est derrière moi, bloqué dans mes années d'école d'ingé, et je ne m'en porte que mieux.
Le film me fait sentir trop jeune, ou peut-être trop vieux. Jeune parce que je ne suis pas sensible à ce duel monumental Gabin-Belmondo, et que la valse ciselée des dialogues d'Audiard ne m'émeut pas plus. Vieux parce que le thème de l'alcoolisme n'a sans doute plus beaucoup à me révéler, la mécanique de l'addiction, l'engourdissement comme échappatoire aux angoisses ou à la routine, etc. J'en suis pas encore à prôner l'abstinence, ni même penser que plus aucune aventure éthylique ne m'attend, grotesque et peu glorieuse, mais enfin l'essentiel est derrière moi, bloqué dans mes années d'école d'ingé, et je ne m'en porte que mieux.