Comment jamais cesser d'emmêler Pennac et Perec, alors que dans deux livres empruntés simultanément et dont je ne connaissais rien d'autre que les auteurs respectifs, j'assiste à la même déliquescence dépressive, explicitement inspirée d'une même nouvelle de Melville ?
Comment jamais cesser d'emmêler Pennac et Perec, alors que dans deux livres empruntés simultanément et dont je ne connaissais rien d'autre que les auteurs respectifs, j'assiste à la même déliquescence dépressive, explicitement inspirée d'une même nouvelle de Melville ?