La première heure suffira largement. Tideland est un remix naïvement glauque des précédents films de Gilliam : on y fait quand même péter un cadavre, plusieurs fois... Une gamine déambule entre des sketchs surréalistes pendant qu'elle déblatère un monologue assommant, le tout sous les angles obliques de la caméra de Gilliam, plus éreintants encore que dans The Zero Theorem. Il s'agit bien de poésie, conçue pour être reçue sans être analysée, mais ma sensibilité est trop éloignée de celle de l'auteur pour que je m'y retrouve une seule seconde.
La première heure suffira largement. Tideland est un remix naïvement glauque des précédents films de Gilliam : on y fait quand même péter un cadavre, plusieurs fois... Une gamine déambule entre des sketchs surréalistes pendant qu'elle déblatère un monologue assommant, le tout sous les angles obliques de la caméra de Gilliam, plus éreintants encore que dans The Zero Theorem. Il s'agit bien de poésie, conçue pour être reçue sans être analysée, mais ma sensibilité est trop éloignée de celle de l'auteur pour que je m'y retrouve une seule seconde.