Que le réalisateur veuille filmer des beaux mecs à poil, avec une mise en scène un peu léchée mais au fond franchement gratuite, fondamentalement ça ne me gêne pas. Au bout d'une heure par contre, le temps commence à se faire bien long. Mais quand dans le dernier quart d'heure, Scud se sent de justifier son voyeurisme artsy, entre prétentions kharmiques et condescendance de cinéaste ("au fond j'aide mes acteurs à réaliser leurs rêves", pénible séquence qu'il serait déjà honteux d'inclure dans le making-of sur le dvd), ça devient désastreux.
Que le réalisateur veuille filmer des beaux mecs à poil, avec une mise en scène un peu léchée mais au fond franchement gratuite, fondamentalement ça ne me gêne pas. Au bout d'une heure par contre, le temps commence à se faire bien long. Mais quand dans le dernier quart d'heure, Scud se sent de justifier son voyeurisme artsy, entre prétentions kharmiques et condescendance de cinéaste ("au fond j'aide mes acteurs à réaliser leurs rêves", pénible séquence qu'il serait déjà honteux d'inclure dans le making-of sur le dvd), ça devient désastreux.