Un sommet d'esthétique steampunk (et l'occasion de voir que c'est plus forcément quelque chose qui résonne beaucoup en moi). Le film ne s'arrête pas totalement à ses images, il se permet bien quelques questions positivistes, et finit par schématiser, consciemment ou non, la science comme un carré d'interactions entre l'utilisateur, le chercheur, le dirigeant, et le penseur. Le problème étant que ces profils se chevauchent très irrégulièrement... À côté de ça, les péripéties frôlent un peu trop souvent les limites de la cohérence. Ça passait encore à peu près, jusqu'aux dix dernières secondes qui semblent oublier tout ce qui a été débattu auparavant ("la science va permettre de créer des armes, youpi !"), puis le générique-épilogue est un délire aberrant. Je comprends pas ce qui s'est passé dans leurs têtes, mais bon.
Un sommet d'esthétique steampunk (et l'occasion de voir que c'est plus forcément quelque chose qui résonne beaucoup en moi). Le film ne s'arrête pas totalement à ses images, il se permet bien quelques questions positivistes, et finit par schématiser, consciemment ou non, la science comme un carré d'interactions entre l'utilisateur, le chercheur, le dirigeant, et le penseur. Le problème étant que ces profils se chevauchent très irrégulièrement... À côté de ça, les péripéties frôlent un peu trop souvent les limites de la cohérence. Ça passait encore à peu près, jusqu'aux dix dernières secondes qui semblent oublier tout ce qui a été débattu auparavant ("la science va permettre de créer des armes, youpi !"), puis le générique-épilogue est un délire aberrant. Je comprends pas ce qui s'est passé dans leurs têtes, mais bon.