Lassée par une exubérance slave et cacophonique qui rappelle Kusturica, des dialogues à la fois téléphonés et bourratifs, et la progression oisive et sans surprise vers l'époque d'oppression staliniste, j'ai abandonné peu après la moitié.
Lassée par une exubérance slave et cacophonique qui rappelle Kusturica, des dialogues à la fois téléphonés et bourratifs, et la progression oisive et sans surprise vers l'époque d'oppression staliniste, j'ai abandonné peu après la moitié.