Soleil trompeur

un film de Utomlennye solntsem (1994)

Lassée par une exubérance slave et cacophonique qui rappelle Kusturica, des dialogues à la fois téléphonés et bourratifs, et la progression oisive et sans surprise vers l'époque d'oppression staliniste, j'ai abandonné peu après la moitié.