La direction artistique est épatante ; les visions de Fellini marient l'antique et le surréalisme sans aucune décence de proportions. L'interprétation, le doublage, la narration segmentée, tout concourt à l'impression que l'humanité ne tourne pas rond... Seulement on comprend au bout de quelques minutes que, dans le même registre que The Square, ce Satyricon n'est là que pour illustrer et marteler la prétendue laideur de la nature intérieure des hommes. C'est arbitraire, suffisant (par son incapacité à se remettre en question), et on en fait vite le tour.
La direction artistique est épatante ; les visions de Fellini marient l'antique et le surréalisme sans aucune décence de proportions. L'interprétation, le doublage, la narration segmentée, tout concourt à l'impression que l'humanité ne tourne pas rond... Seulement on comprend au bout de quelques minutes que, dans le même registre que The Square, ce Satyricon n'est là que pour illustrer et marteler la prétendue laideur de la nature intérieure des hommes. C'est arbitraire, suffisant (par son incapacité à se remettre en question), et on en fait vite le tour.