Le titre était un peu mensonger quand même, c'était pas forcément le genre de film que je voulais me lancer la nuit dernière, mais bon.
Il y a pas mal des réussites et des travers des deux autres Haynes que j'ai vus, Far From Heaven et Carol. Chaque plan est un tableau en profondeur, avec une attention affolante portée au cadre, aux lumières, aux accessoires et à leur disposition. C'est vraiment splendide. A côte de ça, le scénario patine un peu. On finit par comprendre (surtout par l'image) que le film porte moins sur les sectes que sur le matérialisme moderne et une angoisse existentielle plus profonde. Mystérieux, éthéré, angoissant. Julianne Moore y est évidemment à l'aise.
Le titre était un peu mensonger quand même, c'était pas forcément le genre de film que je voulais me lancer la nuit dernière, mais bon.
Il y a pas mal des réussites et des travers des deux autres Haynes que j'ai vus, Far From Heaven et Carol. Chaque plan est un tableau en profondeur, avec une attention affolante portée au cadre, aux lumières, aux accessoires et à leur disposition. C'est vraiment splendide. A côte de ça, le scénario patine un peu. On finit par comprendre (surtout par l'image) que le film porte moins sur les sectes que sur le matérialisme moderne et une angoisse existentielle plus profonde. Mystérieux, éthéré, angoissant. Julianne Moore y est évidemment à l'aise.