J'ai lu en diagonale la plupart des chapitres, c'était salement surécrit. Mais ça parlait de marche, de bivouac, de toiturophilie, avec des états d'esprit assez sincères. L'écriture est vraiment surchargée en figures de style, références semi-érudites, et namedropping des régions eXtRaOrDiNaIrEs qu'il a traversées... Mais c'est pas trop sa faute, il est né à Paris, maman médecin, papa journaliste, passage en khâgne, ça enferme l'expression.
J'ai eu un faible pour le chapitre où il conchie l'HuMaNiSmE en tant qu'autocongratulation pathétique, alors que presque aucun peuple n'est foutu d'en finir avec la misogynie. Par contre la récurrence de l'alcool dans ses histoires, bof. Ton bonheur c'était de te murger sous un toit de cathédrale, soit. Moi j'ai fait ça dans les katas, et je cherche pas à l'enrober pour gagner le prix Renaudot. Un peu de décence svp.
J'ai lu en diagonale la plupart des chapitres, c'était salement surécrit. Mais ça parlait de marche, de bivouac, de toiturophilie, avec des états d'esprit assez sincères. L'écriture est vraiment surchargée en figures de style, références semi-érudites, et namedropping des régions eXtRaOrDiNaIrEs qu'il a traversées... Mais c'est pas trop sa faute, il est né à Paris, maman médecin, papa journaliste, passage en khâgne, ça enferme l'expression.
J'ai eu un faible pour le chapitre où il conchie l'HuMaNiSmE en tant qu'autocongratulation pathétique, alors que presque aucun peuple n'est foutu d'en finir avec la misogynie. Par contre la récurrence de l'alcool dans ses histoires, bof. Ton bonheur c'était de te murger sous un toit de cathédrale, soit. Moi j'ai fait ça dans les katas, et je cherche pas à l'enrober pour gagner le prix Renaudot. Un peu de décence svp.