Álex de la Iglesia nous a vendu son troisième long-métrage comme son film le plus libre, le plus fou, avec toute la violence et le sexe et le mauvais goût qu'il avait envie de faire exploser à l'écran. J'ai trouvé ça très plat, terriblement verbeux, extrêmement laborieux...
Álex de la Iglesia nous a vendu son troisième long-métrage comme son film le plus libre, le plus fou, avec toute la violence et le sexe et le mauvais goût qu'il avait envie de faire exploser à l'écran. J'ai trouvé ça très plat, terriblement verbeux, extrêmement laborieux...