Premier docu-fiction de Rogosin, trois ans avant Come Back Africa. Tout se passe dans une rue miséreuse de New York ; ici, ce n'est pas l'apartheid qui engendre le délitement social, mais plutôt l'alcool. Moins scripté et artificiel que CBA, mais c'est pas encore tout à fait ça. Comme d'hab je reste sur ma faim quand on me montre de la misère sans chercher à plus la comprendre ni la résoudre ; peut-être que c'était pertinent à la fin des 50s, mais je me permets aussi d'en douter, étant donné la quasi-indifférence qui a accompagné la carrière de Rogosin outre-Atlantique.
Premier docu-fiction de Rogosin, trois ans avant Come Back Africa. Tout se passe dans une rue miséreuse de New York ; ici, ce n'est pas l'apartheid qui engendre le délitement social, mais plutôt l'alcool. Moins scripté et artificiel que CBA, mais c'est pas encore tout à fait ça. Comme d'hab je reste sur ma faim quand on me montre de la misère sans chercher à plus la comprendre ni la résoudre ; peut-être que c'était pertinent à la fin des 50s, mais je me permets aussi d'en douter, étant donné la quasi-indifférence qui a accompagné la carrière de Rogosin outre-Atlantique.