Pas simple de savoir quoi penser d'un jeu dont l'ambiance repose à moitié sur l'indifférence à l'égard du joueur, et c'est le cas pour les walking simulators de Orihaus. Évidemment, il a réfléchi à l'interaction, mais pour faire signifier au joueur qu'il ne respecte pas l'interaction telle qu'on l'entend habituellement ; tout ça est très schizo et assez décontenançant.
C'est encore plus visible dans Obsolete, dont les sons semblent presque punir l'action, dont les drones attaquants poussent ou bien à ne pas bouger, ou bien à s'enfuir sans cesse, sans pouvoir se poser, toujours sous pression à cause d'une menace punitive et absurde. Ce genre de réflexion expérimentale est à mes yeux plus intéressant que l'exploration : Lumiere était un bon point d'entrée, qui introduit cette mécanique bizarre d'éclairage de la map par réflexion... mais sans jamais montrer la source de lumière, par contre on fait vite le tour de ces décors froids et abstraits. Et d'autant plus quand on garde des souvenirs du monde plus coloré et accueillant de FRACT OSC. Bon, c'est pas la même démarche non plus, FRACT devait un minimum séduire pour rentabiliser son développement, tandis que Orihaus expérimente avec ses free-to-play et se moque de plaire ou non.
Pas simple de savoir quoi penser d'un jeu dont l'ambiance repose à moitié sur l'indifférence à l'égard du joueur, et c'est le cas pour les walking simulators de Orihaus. Évidemment, il a réfléchi à l'interaction, mais pour faire signifier au joueur qu'il ne respecte pas l'interaction telle qu'on l'entend habituellement ; tout ça est très schizo et assez décontenançant.
C'est encore plus visible dans Obsolete, dont les sons semblent presque punir l'action, dont les drones attaquants poussent ou bien à ne pas bouger, ou bien à s'enfuir sans cesse, sans pouvoir se poser, toujours sous pression à cause d'une menace punitive et absurde. Ce genre de réflexion expérimentale est à mes yeux plus intéressant que l'exploration : Lumiere était un bon point d'entrée, qui introduit cette mécanique bizarre d'éclairage de la map par réflexion... mais sans jamais montrer la source de lumière, par contre on fait vite le tour de ces décors froids et abstraits. Et d'autant plus quand on garde des souvenirs du monde plus coloré et accueillant de FRACT OSC. Bon, c'est pas la même démarche non plus, FRACT devait un minimum séduire pour rentabiliser son développement, tandis que Orihaus expérimente avec ses free-to-play et se moque de plaire ou non.