Mon cinquième Sono Sion, en demi-teinte. J'avais peur de la durée, mais c'est passé sans encombre, grâce au style de narration exhaustive que j'avais rencontré dans Why Don't You Play in Hell et que je commence à bien connaître : narrateurs/personnages principaux multiples, enchevêtrement temporel très équilibré, spontanéité des voix off. Seulement, autant sur ce travail d'écriture et montage, que sur les thèmes de néant familial, de passage et l'âge adulte et d'émancipation, j'ai l'impression que Noriko manque d'intensité et d'engagement par rapport à mes précédentes découvertes du réalisateur.
Mon cinquième Sono Sion, en demi-teinte. J'avais peur de la durée, mais c'est passé sans encombre, grâce au style de narration exhaustive que j'avais rencontré dans Why Don't You Play in Hell et que je commence à bien connaître : narrateurs/personnages principaux multiples, enchevêtrement temporel très équilibré, spontanéité des voix off. Seulement, autant sur ce travail d'écriture et montage, que sur les thèmes de néant familial, de passage et l'âge adulte et d'émancipation, j'ai l'impression que Noriko manque d'intensité et d'engagement par rapport à mes précédentes découvertes du réalisateur.