Sans doute le plus intéressant des "Préludes" réédités avec l'Agence du court métrage. Rohmer camoufle sa subjectivité derrière le portrait en apparence intouché d'une étudiante américaine à Paris. Le dévouement altier pour la jeune femme, l'intérêt pour les microcosmes (ici parisien), le regard conscient, acerbe mais tolérant. Ça annonce du bon pour la suite.
Sans doute le plus intéressant des "Préludes" réédités avec l'Agence du court métrage. Rohmer camoufle sa subjectivité derrière le portrait en apparence intouché d'une étudiante américaine à Paris. Le dévouement altier pour la jeune femme, l'intérêt pour les microcosmes (ici parisien), le regard conscient, acerbe mais tolérant. Ça annonce du bon pour la suite.