Sur le papier, un croisement entre Cloverfield et District 9.
À l'écran : des dialogues atroces, un couple principal inexistant, des péripéties sans queue ni tête... Le production design, c'est 50% de synthèse pas belle et 50% d'affiches "/!\ MONSTERS /!\" placardées sur des panneaux publicitaires mexicains. Gareth Edwards ne touche à aucun moment cette note surhumaine qui m'avait fait apprécier des bouts de Godzilla et de Rogue One.
Il n'y a rien de monstrueux, mais fuyez quand même.
Sur le papier, un croisement entre Cloverfield et District 9.
À l'écran : des dialogues atroces, un couple principal inexistant, des péripéties sans queue ni tête... Le production design, c'est 50% de synthèse pas belle et 50% d'affiches "/!\ MONSTERS /!\" placardées sur des panneaux publicitaires mexicains. Gareth Edwards ne touche à aucun moment cette note surhumaine qui m'avait fait apprécier des bouts de Godzilla et de Rogue One.
Il n'y a rien de monstrueux, mais fuyez quand même.