Que Gilliam se soit perdu en cours de route ou que nos mondes intérieurs respectifs souffrent d'un fossé impossible à combler, Parnassus achève de me montrer, en complément de Fear and Loathing in Las Vegas, Tideland et Zero Theorem, que je ne tolère pas de voir le surréalisme se compromettre au divertissement foutraque qui imprègne l'industrie ciné depuis la fin des 90s. Ce vain sens du spectacle désamorce les visions frappantes et remuantes dont pouvaient témoigner les animations du Monty Python's Flying Circus, ou encore celles de l'adaptation de The Wall par Alan Parker. Et quand c'est en plus présenté avec des effets spéciaux synthétiques, proto-Alice de Burton, ça finit par me donner une vague nausée sans la moindre trace d'émerveillement...
Que Gilliam se soit perdu en cours de route ou que nos mondes intérieurs respectifs souffrent d'un fossé impossible à combler, Parnassus achève de me montrer, en complément de Fear and Loathing in Las Vegas, Tideland et Zero Theorem, que je ne tolère pas de voir le surréalisme se compromettre au divertissement foutraque qui imprègne l'industrie ciné depuis la fin des 90s. Ce vain sens du spectacle désamorce les visions frappantes et remuantes dont pouvaient témoigner les animations du Monty Python's Flying Circus, ou encore celles de l'adaptation de The Wall par Alan Parker. Et quand c'est en plus présenté avec des effets spéciaux synthétiques, proto-Alice de Burton, ça finit par me donner une vague nausée sans la moindre trace d'émerveillement...