Mélodieusement mélancolique, puis poussif. La deuxième heure, quoique toujours habitée d'images remarquables, s'enlise dans les plans fixes, longuets et silencieux, cache-misère consacrés du cinéma art et essai.
Mélodieusement mélancolique, puis poussif.
La deuxième heure, quoique toujours habitée d'images remarquables, s'enlise dans les plans fixes, longuets et silencieux, cache-misère consacrés du cinéma art et essai.