Sans passif de jeunesse avec ce film, je n'ai pas trouvé quoi en tirer. The Last of the Mohicans est une bizarrerie dans la filmographie de Michael Mann, mais les incursions lyriques auxquelles il se livre ne sont pas toutes heureuses. Qu'il s'agisse du thème orchestral de vingt tonnes, de la romance cliché, ou des regards de cent mètres de long que les acteurs s'échangent à chaque scène (parfois au ralenti, youpi), les éléments allergènes s'accumulent au point de faire oublier le travail plutôt correct de la photo rougeoyante. Ce condensé de théâtralité cireuse convoque en moins de deux heures l'esprit du cinéma le plus épique, mais au prix de quels raccourcis décourageants ?
Sans passif de jeunesse avec ce film, je n'ai pas trouvé quoi en tirer. The Last of the Mohicans est une bizarrerie dans la filmographie de Michael Mann, mais les incursions lyriques auxquelles il se livre ne sont pas toutes heureuses. Qu'il s'agisse du thème orchestral de vingt tonnes, de la romance cliché, ou des regards de cent mètres de long que les acteurs s'échangent à chaque scène (parfois au ralenti, youpi), les éléments allergènes s'accumulent au point de faire oublier le travail plutôt correct de la photo rougeoyante. Ce condensé de théâtralité cireuse convoque en moins de deux heures l'esprit du cinéma le plus épique, mais au prix de quels raccourcis décourageants ?