Touchant dans son quart d'heure initial, vu à travers les yeux d'un gosse cinéphile, le film s'essouffle paradoxalement quand il fait passer l'action au premier plan. Au carrefour de la fantaisie du cinéma d'aventure des années 80 et de l'humour référencé qui obsède l'industrie depuis les années 2000, la tentative de parodie des codes du blockbuster a tendance à s'abîmer dans une liste échevelée de clins d'œil trop appuyés, de E.T. à Blade Runner. Le montage chorégraphié par John McTiernan rattrape tout de même le plaisir de ce projet glouton.
Touchant dans son quart d'heure initial, vu à travers les yeux d'un gosse cinéphile, le film s'essouffle paradoxalement quand il fait passer l'action au premier plan. Au carrefour de la fantaisie du cinéma d'aventure des années 80 et de l'humour référencé qui obsède l'industrie depuis les années 2000, la tentative de parodie des codes du blockbuster a tendance à s'abîmer dans une liste échevelée de clins d'œil trop appuyés, de E.T. à Blade Runner. Le montage chorégraphié par John McTiernan rattrape tout de même le plaisir de ce projet glouton.