Ozon plus fidèle à lui-même que jamais, avec sa vision de la femme insidieusement rétrograde et son scénario aux dix mille tiroirs inutiles. L'ajout de sexe et de violence plus graphiques que d'habitude contribue aussi à mon exaspération : les dialogues ont beau se perdre dans des méandres psychologiques censément intellos, si une part du public refuse d'y voir un salmigondis prétentieux et vide, c'est à cause des costumes de Renier et des fesses de Vacth... Quant à la qualité de ces prétendues réflexions, c'est un peu comme une série Z des années 80 qui tente de te parler informatique : la psychologie (ou psychanalyse) n'est jamais approchée avec un sérieux scientifique, c'est juste un outil pour balancer un tas d'inepties au spectateur qui n'osera pas les remettre en question...
Ozon plus fidèle à lui-même que jamais, avec sa vision de la femme insidieusement rétrograde et son scénario aux dix mille tiroirs inutiles. L'ajout de sexe et de violence plus graphiques que d'habitude contribue aussi à mon exaspération : les dialogues ont beau se perdre dans des méandres psychologiques censément intellos, si une part du public refuse d'y voir un salmigondis prétentieux et vide, c'est à cause des costumes de Renier et des fesses de Vacth... Quant à la qualité de ces prétendues réflexions, c'est un peu comme une série Z des années 80 qui tente de te parler informatique : la psychologie (ou psychanalyse) n'est jamais approchée avec un sérieux scientifique, c'est juste un outil pour balancer un tas d'inepties au spectateur qui n'osera pas les remettre en question...