Comme l'a dit Noël Herpe au Reflet Médicis : Rohmer revient de loin. La Sonate à Kreutzer est un moyen-métrage plutôt balourd, trop révérencieux envers la littérature, à la limite de l'auto-dépréciation. Ce qui va, après tout, avec le protagoniste complexé et jaloux interprété par Rohmer lui-même. Le film a un intérêt bien plus historique qu'intrinsèque, affalé dans des traits de mise en scène moroses contre lesquels l'auteur se définira au fil de son épanouissement.
Comme l'a dit Noël Herpe au Reflet Médicis : Rohmer revient de loin. La Sonate à Kreutzer est un moyen-métrage plutôt balourd, trop révérencieux envers la littérature, à la limite de l'auto-dépréciation. Ce qui va, après tout, avec le protagoniste complexé et jaloux interprété par Rohmer lui-même. Le film a un intérêt bien plus historique qu'intrinsèque, affalé dans des traits de mise en scène moroses contre lesquels l'auteur se définira au fil de son épanouissement.