La haine

un film de Mathieu Kassovitz (1995)

J'aime :

_Cassel qui parle avec "un mélange entre Moïse et Bernard Tapie"

_Vincent Lindon avec une belle moustache et complètement torché

_Kassovitz qui se met devant la caméra pour être jeté dans des cartons et tabassé

_le russe random et son histoire scato

_Rachid Djaïdani (Rengaine, 2012) dans les remerciements ; il était agent de sécurité

Je comprends pas bien ceux qui reprochent à ce film de reposer sur des clichés alors que Kassovitz est tout le temps en train de tempérer la fameuse haine de Cassel, même si c'est par l'intermédiaire d'autres persos et/ou en arrière-plan. Ce genre d'accusation de principe revient un peu à en vouloir au cinéma de proposer autre chose que des documentaires amorphes...