_Cassel qui parle avec "un mélange entre Moïse et Bernard Tapie"
_Vincent Lindon avec une belle moustache et complètement torché
_Kassovitz qui se met devant la caméra pour être jeté dans des cartons et tabassé
_le russe random et son histoire scato
_Rachid Djaïdani (Rengaine, 2012) dans les remerciements ; il était agent de sécurité
Je comprends pas bien ceux qui reprochent à ce film de reposer sur des clichés alors que Kassovitz est tout le temps en train de tempérer la fameuse haine de Cassel, même si c'est par l'intermédiaire d'autres persos et/ou en arrière-plan. Ce genre d'accusation de principe revient un peu à en vouloir au cinéma de proposer autre chose que des documentaires amorphes...
J'aime :
_Cassel qui parle avec "un mélange entre Moïse et Bernard Tapie"
_Vincent Lindon avec une belle moustache et complètement torché
_Kassovitz qui se met devant la caméra pour être jeté dans des cartons et tabassé
_le russe random et son histoire scato
_Rachid Djaïdani (Rengaine, 2012) dans les remerciements ; il était agent de sécurité
Je comprends pas bien ceux qui reprochent à ce film de reposer sur des clichés alors que Kassovitz est tout le temps en train de tempérer la fameuse haine de Cassel, même si c'est par l'intermédiaire d'autres persos et/ou en arrière-plan. Ce genre d'accusation de principe revient un peu à en vouloir au cinéma de proposer autre chose que des documentaires amorphes...