Bah mince, Fritz avait complètement raison. Aussi improbable que ça paraisse, il y a de quoi aimer Happy Feet de la même façon que Fury Road. Je relis ce que j'avais écrit à l'époque, et en changeant les noms et en remplaçant "hommes" par "pingouins" je tomberais vraiment pas loin. Au point que j'ai pas grand-chose à écrire, parce que ça tournerait vite au copier-coller. Tout y est, depuis la révolte anti-défaitiste et déterminée de Mumble/Max jusqu'à l'affirmation d'une entière nouvelle génération. Et je me souviens pas avoir vu de scènes d'action aussi convaincantes et fluides depuis le dernier Mad Max. George Miller surfe ici sur la comédie musicale plutôt que le post-apo, mais pour ceux qui accrochent autant à l'un qu'à l'autre, ça fera tout le sel de la différence entre les deux films. Laissez les préjugés au placard ; accordez-lui un peu d'estime et de cinéphilie, et Happy Feet vous les retournera en cent.
Bah mince, Fritz avait complètement raison. Aussi improbable que ça paraisse, il y a de quoi aimer Happy Feet de la même façon que Fury Road. Je relis ce que j'avais écrit à l'époque, et en changeant les noms et en remplaçant "hommes" par "pingouins" je tomberais vraiment pas loin. Au point que j'ai pas grand-chose à écrire, parce que ça tournerait vite au copier-coller. Tout y est, depuis la révolte anti-défaitiste et déterminée de Mumble/Max jusqu'à l'affirmation d'une entière nouvelle génération. Et je me souviens pas avoir vu de scènes d'action aussi convaincantes et fluides depuis le dernier Mad Max. George Miller surfe ici sur la comédie musicale plutôt que le post-apo, mais pour ceux qui accrochent autant à l'un qu'à l'autre, ça fera tout le sel de la différence entre les deux films. Laissez les préjugés au placard ; accordez-lui un peu d'estime et de cinéphilie, et Happy Feet vous les retournera en cent.