Engoncé dans une poésie vapide et des métaphores poreuses, dédaignant l'interactivité au profit d'une mise en scène paternaliste, la duplicité de Gris consiste à faire avaler un platformer linéaire via l'évocation indolente d'arts « nobles ». Comment regarder en face un jeu vidéo qui brandit fièrement la honte de son propre support d'expression ?
Engoncé dans une poésie vapide et des métaphores poreuses, dédaignant l'interactivité au profit d'une mise en scène paternaliste, la duplicité de Gris consiste à faire avaler un platformer linéaire via l'évocation indolente d'arts « nobles ». Comment regarder en face un jeu vidéo qui brandit fièrement la honte de son propre support d'expression ?