La mise en scène et l'écriture, un peu indistinctes de la part d'un cinéaste vétéran, rappellent le détachement complice des premiers Tarantino, divertissant mais aussi plutôt dépassé, sans doute pour le cinéma en 2020, et à tout le moins dans mes goûts actuels. Miike n'a même pas pour lui de subvertir un minimum les rôles clichés du cinéma d'action : un héros taciturne et puissant, une princesse fébrile, un yakuza garant des traditions, une séductrice hystérique, etc.
(Je cite QT en tant que référence établie, bien que l'influence culturelle ait plutôt accompli le voyage inverse, du Japon vers l'Occident.)
La mise en scène et l'écriture, un peu indistinctes de la part d'un cinéaste vétéran, rappellent le détachement complice des premiers Tarantino, divertissant mais aussi plutôt dépassé, sans doute pour le cinéma en 2020, et à tout le moins dans mes goûts actuels. Miike n'a même pas pour lui de subvertir un minimum les rôles clichés du cinéma d'action : un héros taciturne et puissant, une princesse fébrile, un yakuza garant des traditions, une séductrice hystérique, etc.
(Je cite QT en tant que référence établie, bien que l'influence culturelle ait plutôt accompli le voyage inverse, du Japon vers l'Occident.)