Dernier portrait de femme. Un cadre champêtre inattendu, qui brusque par rapport à la sensibilité urbaine des courts métrages précédents. Pourtant Rohmer fait preuve du même effacement, ou plutôt de la même assimilation, qu'avec Nadja à Paris. Preuve s'il en est qu'il cherche bien moins à se mettre en scène au travers de l'autre, qu'à se découvrir par la mise en scène de l'autre.
Dernier portrait de femme. Un cadre champêtre inattendu, qui brusque par rapport à la sensibilité urbaine des courts métrages précédents. Pourtant Rohmer fait preuve du même effacement, ou plutôt de la même assimilation, qu'avec Nadja à Paris. Preuve s'il en est qu'il cherche bien moins à se mettre en scène au travers de l'autre, qu'à se découvrir par la mise en scène de l'autre.