Tony Scott tente d'intensifier la grammaire cinématographique américaine dans un paroxysme de mauvais goût, mais ni la "créativité" ni l'intrigue ne sont assez intenses pour maintenir mon attention. J'ai arrêté au bout d'une demi-heure, quand Keira Knightley offre ses fesses à un gangsta latino dans un lap dance salement gratuit. Si en fait c'était de la satire à la Showgirls ou Spring Breakers, prévenez-moi, mais là c'est pas possible.
Tony Scott tente d'intensifier la grammaire cinématographique américaine dans un paroxysme de mauvais goût, mais ni la "créativité" ni l'intrigue ne sont assez intenses pour maintenir mon attention. J'ai arrêté au bout d'une demi-heure, quand Keira Knightley offre ses fesses à un gangsta latino dans un lap dance salement gratuit. Si en fait c'était de la satire à la Showgirls ou Spring Breakers, prévenez-moi, mais là c'est pas possible.