C'est un peu comme si on avait demandé à Gregg Araki de rebooter Scream. Et qu'il avait sniffé dix rails chaque jour de la production. Tueur en série, aliens, ados dépressifs, voyage dans le temps, culte des 90s, du méta à la pelle et des intrigues liées dans tous les sens, ça n'arrête jamais et on en rate une bonne partie, mais vouloir tout appréhender c'est un peu comme vouloir trouver une cohérence globale à ce maelstrom scénaristique : ça n'aurait pas de sens. Ici comme presque jamais ailleurs, en faire des tonnes devient un atout, sans doute parce que c'est de loin la première motivation du film. Une réussite bizarre, et je n'ai pas assez de bon goût pour chercher à la refouler. :)
C'est un peu comme si on avait demandé à Gregg Araki de rebooter Scream. Et qu'il avait sniffé dix rails chaque jour de la production. Tueur en série, aliens, ados dépressifs, voyage dans le temps, culte des 90s, du méta à la pelle et des intrigues liées dans tous les sens, ça n'arrête jamais et on en rate une bonne partie, mais vouloir tout appréhender c'est un peu comme vouloir trouver une cohérence globale à ce maelstrom scénaristique : ça n'aurait pas de sens. Ici comme presque jamais ailleurs, en faire des tonnes devient un atout, sans doute parce que c'est de loin la première motivation du film. Une réussite bizarre, et je n'ai pas assez de bon goût pour chercher à la refouler. :)