L'explication la plus raisonnable, c'est que les animateurs de cet OVA faisaient leur boulot pendant que dix films d'action passaient simultanément en arrière-plan de leur bureau, et avec ça on leur injectait un cocktail café/coke directement dans le crâne. Surenchère extrême d'explosions, de cascades irréalistes et de mauvais goût asiatique (Aachi wa Ssipak n'est pas loin), Dead Leaves se vit en apnée pendant une petite heure et ne laisse respirer qu'une fois son générique de fin lancé. On en sort assommé par son déploiement d'énergie radical et arbitraire, mais aussi content de s'être prêté à l'expérience et d'avoir survécu.
L'explication la plus raisonnable, c'est que les animateurs de cet OVA faisaient leur boulot pendant que dix films d'action passaient simultanément en arrière-plan de leur bureau, et avec ça on leur injectait un cocktail café/coke directement dans le crâne. Surenchère extrême d'explosions, de cascades irréalistes et de mauvais goût asiatique (Aachi wa Ssipak n'est pas loin), Dead Leaves se vit en apnée pendant une petite heure et ne laisse respirer qu'une fois son générique de fin lancé. On en sort assommé par son déploiement d'énergie radical et arbitraire, mais aussi content de s'être prêté à l'expérience et d'avoir survécu.