Pour respirer, j'avais besoin d'un jeu sans message, qui n'exige rien du cerveau, à part peut-être l'accomplissement de quelques fonctions reptiliennes...
Le design des multiples boss est varié et stimulant, mais une fois les patterns bien assimilés, il ne s'agit guère plus que d'exécuter les bons réflexes aux bons moments. L'histoire est un prétexte creux pour simuler une progression vers un but insignifiant.
La direction artistique, inspirée par les standards d'animation aux USA dans les années 30, flatte l'œil parce qu'elle est aujourd'hui rare, mais son originalité et sa personnalité n'en restent pas moins toutes relatives, sinon lacunaires. Que l'on considère aussi l'absence de corrélation entre la DA et le gameplay, ou plus encore, la façon dont le style d'origine a été vidé de toute portée culturelle...
Cuphead est bête, mais délibérément et brillamment bête.
Pour respirer, j'avais besoin d'un jeu sans message, qui n'exige rien du cerveau, à part peut-être l'accomplissement de quelques fonctions reptiliennes...
Le design des multiples boss est varié et stimulant, mais une fois les patterns bien assimilés, il ne s'agit guère plus que d'exécuter les bons réflexes aux bons moments. L'histoire est un prétexte creux pour simuler une progression vers un but insignifiant.
La direction artistique, inspirée par les standards d'animation aux USA dans les années 30, flatte l'œil parce qu'elle est aujourd'hui rare, mais son originalité et sa personnalité n'en restent pas moins toutes relatives, sinon lacunaires. Que l'on considère aussi l'absence de corrélation entre la DA et le gameplay, ou plus encore, la façon dont le style d'origine a été vidé de toute portée culturelle...
Cuphead est bête, mais délibérément et brillamment bête.