En ce qui me concerne, le potentiel addictif de Cook, Serve, Delicious! s'est épuisé après une quinzaine d'heures passées à composer des plats dans un enchaînement frénétique de touches. L'apprentissage était simple, mais la courbe de progression s'arrête trop tôt, le jeu préférant alors se reposer sur de nouvelles recettes, de nouvelles combinaisons de clavier, plutôt que de développer les tactiques possibles. Dans tous les cas, la pression imposée par le rythme de service était une échappatoire efficace à d'autres pressions du quotidien.
En ce qui me concerne, le potentiel addictif de Cook, Serve, Delicious! s'est épuisé après une quinzaine d'heures passées à composer des plats dans un enchaînement frénétique de touches. L'apprentissage était simple, mais la courbe de progression s'arrête trop tôt, le jeu préférant alors se reposer sur de nouvelles recettes, de nouvelles combinaisons de clavier, plutôt que de développer les tactiques possibles. Dans tous les cas, la pression imposée par le rythme de service était une échappatoire efficace à d'autres pressions du quotidien.