Contes de juillet

un film de Guillaume Brac (2018)

vu le 9 octobre 2018 à l'Archipel

Ces badinages sentimentaux à moitié improvisés évoquent Rohmer, et peut-être Rozier. Mais les personnages, peu formés dans l'esprit du metteur en scène, ne parviennent pas à exister en dehors de l'interaction immédiate. Leur trivialité prive de morale ce théâtre de petites hypocrisies, destinées à enrayer la solitude au plus fort de l'été.