Ça vient confirmer la gêne que j'avais ressentie devant Underground : Kusturica a beau faire preuve d'un style inimitable, son esthétique fanfaronnante et ses personnages explosifs m'épuisent puis m'indiffèrent. Vaste allégorie d'une culture slave, peut-être, mais comme face à Tarkovski, comment juger ce que je ne connais pas, et ce que je ne pourrai jamais connaître ?
Ça vient confirmer la gêne que j'avais ressentie devant Underground : Kusturica a beau faire preuve d'un style inimitable, son esthétique fanfaronnante et ses personnages explosifs m'épuisent puis m'indiffèrent. Vaste allégorie d'une culture slave, peut-être, mais comme face à Tarkovski, comment juger ce que je ne connais pas, et ce que je ne pourrai jamais connaître ?