C'est un peu la collision entre "I'm a Cyborg, But That's OK" et "Printemps, été, automne, hiver... et printemps". Il y a la poésie décalée et la générosité du premier, et l'intemporalité et le sens de la solitude du second (sans le bouddhisme de comptoir qui m'avait mis en rogne). Profond dans la simplicité, Hae-jun Lee se contente de trois bouts de ficelle scénaristiques pour signer un des feel-good movies les plus dégourdis et efficaces de ces dernières années. Aussi inattendu que réussi.
C'est un peu la collision entre "I'm a Cyborg, But That's OK" et "Printemps, été, automne, hiver... et printemps". Il y a la poésie décalée et la générosité du premier, et l'intemporalité et le sens de la solitude du second (sans le bouddhisme de comptoir qui m'avait mis en rogne). Profond dans la simplicité, Hae-jun Lee se contente de trois bouts de ficelle scénaristiques pour signer un des feel-good movies les plus dégourdis et efficaces de ces dernières années. Aussi inattendu que réussi.